Les Editions Plon, par vocation et par tradition, s’efforcent d’éclairer les lecteurs sur les mutations de notre société.

Suivre avec sérieux et compétence l’actualité, fournir des clés d’explication à l’évolution du monde en donnant la parole à de grands auteurs venus de tous les horizons légitiment la position acquise par Plon dans le domaine du livre politique, des essais et des documents.

A l’écoute du passé et parce que comprendre l’avenir passe par la compréhension de l’histoire, les Editions Plon restent un éditeur incontournable dans le domaine de l’histoire et de la sociologie à l’intention du grand public.

A l’écoute du monde, les Editions Plon donnent la parole aux littératures étrangères, francophones et françaises, et publient autant de voix qui par le biais de l’imaginaire nous permettent de comprendre la réalité d’aujourd’hui.

A l’écoute de la jeunesse, et parce que l’avenir de la lecture passe par les nouvelles générations, les Editions Plon développent une ligne pour les adolescents qui les amènera à construire leur propre personnalité en leur donnant les moyens d’apprendre ou de nourrir leur imaginaire.

Olivier Orban, Président-directeur général

vendredi 2 avril 2010

Interview Ingrid Desjours

A l'occasion de la sortie du nouvel ouvrage d'Ingrid Desjours Potens à venir en juin dans la collection Nuit Blanche, ZoneLivre nous plonge dans l'univers de la romancière.

1) Garance Hermosa, qui est sexo-criminologue dans Écho, est un personnage assez troublant, allons nous la retrouver dans vos prochains romans ?

Effectivement, Garance et Patrik reprennent du service dans Potens, mon prochain roman. Mais les deux personnages ont beaucoup évolué et un événement inattendu renvoie Garance à un passé qu’elle aurait préféré oublier et qui la plonge dans la spirale de l’autodestruction.

2) En quoi votre second roman diffère-t-il du premier ?

Il y a quelques scènes très intenses, qu’on vit en temps réel ! Potens est aussi beaucoup plus sombre que Écho. Les personnages sont nombreux et très fouillés : il y a une forme de désespoir chez certains d’entre eux, dont Garance. Elle paraît plus humaine, plus fragile, on comprend ce qui l’a rendue si dure et pourquoi elle est devenue psy.

3) Vous êtes allée en Laponie en prévision de la rédaction de votre troisième roman. Comment avez-vous procédé sur place : prises de notes, dictaphone … ?

J’ai pris quelques notes mais mon rapport à l’écriture est surtout sensuel et instinctif. Je me suis donc fait péter les rétines en embrassant ces paysages incroyables et en les capturant avec mon appareil photo, je me suis aussi imprégnée des ambiances et des sensations : le froid, les odeurs, les réactions de mon corps. Toutes ces choses m’ont habitée et ont laissé une empreinte qui viendra influencer mon écriture au moment où je lâcherai les rênes.

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